13.5.11

Croquis d'objets et de gens


Publications Contrepoint

Publications BD (2009) dans le magazine Contrepoint sur les numéros 16, 17, 18, 19.
Thème: la vie étudiante. Sous le pseudonyme Delfina d'Eona, devenu Eona par la suite.
(dans l'ordre des parutions)




11.5.11

performance peinture en live-vernissage




Improvisation à la peinture pour un vernissage d'expo : environ 5h de travail..

La peinture blanche sur toile noire: on ne peut pas effacer, le premier trait doit être le bon!

Le bonheur suprême, j'ai pris mon pied vous n'imaginez pas..

14.4.11

Bulle d'Ox Magazine-News












Rappelez-vous..C'était en septembre dernier, et nous inaugurions la sortie de notre magazine BD à la librairie "La Fée des Livres" située à Bondy, dédicaces en extra. Deux choses: ce numéro, était devenu le numéro 1 "hors série", une sorte de numéro "zéro" si vous préférez, du genre perfectible, non que nous ayons eu l'intention d'en faire un numéro "test" mais les choses n'étaient pas si évidentes, il n'en finissait pas de se préparer, les festivals nous demandaient des nouvelles et nous n'avions rien à leur donner et c'est finalement dans l'urgence, pris dans cette envie d'agir, que l'on y mit terme. Rien d'autre n'importait plus: il fallait le sortir ce premier là, montrer qu'on en était capable, qu'on avait pas bluffé.. et grâce à l'expérience que nous en tirerions, malgré les évidentes maladresses et erreurs, nous pourrions améliorer le suivant.

Ainsi nous sommes en train d'achever le second numéro, qui portera donc (après vous avoir expliqué pourquoi) le terme numéro un, le vrai, le costaud, avec un béret et une baguette de pain coincée sous ses gros biscotos..oui, celui qui ne rigole pas..!

Il sera, comme le précédent en vente lors des festivals auxquels nous tenons un stand, et bien sur en librairie; Et parlons en des librairies! Toujours cette question lorsque je parle du mag autour de moi "Où peut on se le procurer?". Et ces visages qui prennent une allure dépitée lorsque j'annonce "Dans une librairie de Bondy". A quoi s'attendaient-ils? A la FNAC ou au VIRGIN MEGASTORE peut-être? Trêve de plaisanterie, un jour peut-être, surement, on l'espère, on le souhaite ardemment, on met un cierge à l'église tous les jours, mais on en est pas encore là.

Mais ne désespérons pas, et pour cause: en temps que parisienne il m'est extrêmement regrettable que l'on ne puisse se le procurer sur Paris. Avec ma chère amie et collègue Marina, alias ED, dessinatrice membre de l'asso ainsi que secrétaire du pôle édition, nous avons unis nos forces autours de cette idée: démarcher les librairies jeunesses-Bd sur Paris pour leur proposer le mag en dépôt-vente.



POUR EN SAVOIR PLUS SUR CE PROJET:

L'association "Bulle d'Ox"est un collectif de jeunes artistes crée en 2008. Nous comptons 25 membres répartis dans 7 à 8 départements en Ile de France et nous sommes basés à Bondy. L’association comporte un Pôle Edition, dont le premier magazine est disponible à la librairie «La Fée des Livres» située à Bondy, depuis sept 2010.

Ce magazine est un projet commun des membres du Pôle Edition.
Sa diffusion s'adresse à un lectorat d’adolescents et de jeunes adultes.
Nous exploitons 3 genres de BD :
- le Manga
- le Comic
- le Franco-belge

Il regroupe des histoires longues (qui s'étendront sur plusieurs volumes), des histoires courtes, des explications concernant des méthodes de dessin, des strips (histoire d'une page) ainsi qu’une gallerie d'illustrations. Notre atout est sa diversité, tant au niveau des styles d’auteurs que de son contenu. Il ne s'agit pas d'un fanzine mais bien d'un magazine: nous travaillons à son référencement à la Bibliothèque Nationale de France et avons fait imprimer ce numéro 1 hors série en 500 exemplaires chez un professionnel.

L’association travaille à sa visibilité en participant à de nombreux festivals: le Festival ECLA de la BD en novembre, le Salon du livre en janvier, et prochainement la Japan Expo en juillet.
De plus, nous sommes déjà en partenariat avec la librairie de Bondy où nous avons
effectué des séances de dédicaces gratuites et de nombreux ateliers de dessin avec les enfants.
Ces activités nous rapportent qu’un partenariat peut-être un atout pour augmenter les ventes des librairies concernées, les faire connaitre.

Nous prenons en charge le travail de promotion de ces évenements (affiches, flyers, internet).

EN RESUME:
-Il s’agit d’un dépot/vente.
-Les librairies touchent un pourcentage sur la vente.
-Les librairies bénéficient d’une visibilité à travers des séances gratuites de dedicasse dont nous prenons en charge la promotion.

Pour plus d'information: http://bulledox.wordpress.com

24.3.11

Les murs de Philly

La nostalgie de Philadelphie, l'envie de me téléporter (ou d'avoir le budjet-air-line)..Quelle heure est-il là-bas? Que font ces gens que j'ai rencontré et aimé? A mon grand désespoir, je crois que mon anglais s'est volatilisé en l'absence de pratique..et oh combien j'aime cette langue! J'ai d'ailleurs un site fabuleux d'audio-book lus par des passionnés, les pistes sont à télécharger gratuitement ! Que de bonheur... :))) C'est fou l'effet que me fait cette langue (autant l'anglais que l'américain d'ailleurs) j'aimerais tellement m'y immerger..un jour c'est sur..pour le travail, je voyagerais par là-bas... Ah je me perds dans mes réflexions..pour accéder au site clickez ici , je vous l'ai mis sur ma lecture préférée...j'en perds mes sens...tant j'aime cette lecture, son fond, sa forme..

Concernant les murals de Philly, je vous ai trouvé cet article, je me permets de vous le copier il n'y avait pas de partage possible direct sur Blogger, la source est indiquée à la fin :) Et le mur de Bondy puis Philadelphien sont bien ceux sur lesquels, avec mes amis bulledoxiens nous avons laissé trace de pinceaux (sans coulure de peinture) :) Que de souvenirs, aux couleurs si vives et déjà trop lointaines...

Je vous embrasse, et vous souhaite un excellent week end!

"Avec ses quelque 3 000 fresques ornant ses rues, ses façades, ses parkings et autres murs aveugles, Philly est aussi la capitale des " Murals ". The Peace Wall[le mur de la paix], entre la 29e rue et Wharton Street, ou l'immense Jackie Robinson en pleine action en hommage au célèbre joueur de baseball sur Broad Street ou encore Philadelphia On a Half Tank, sur Penrose Avenue sur un réservoir de pétrole dans une zone industrielle, sans oublier celle qui fut longtemps la plus grande, peinte sur un immeuble de huit étages, Common Thread, au croisement de Broad et Spring Garden Streets : autant d'œuvres, parmi les plus célèbres, que les passants peuvent admirer librement et qui font de la ville une vaste galerie d'art à ciel ouvert.

Des tours à bord de trolleybus sont même organisés en compagnie de spécialistes qui dévoilent à leurs passagers l'histoire et les secrets de fabrication d'une trentaine de fresques. Chaque semaine, la visite aborde un quartier différent de la ville, histoire d'offrir un panorama complet du muralisme philadelphien. Lancé en juin dernier, le Mural Mile propose, pour sa part, un itinéraire regroupant dix-sept peintures murales les plus emblématiques du centre-ville, que l'on parcourt à pied, en une heure et demie, toujours en compagnie d'un guide.

Les plus indépendants, quant à eux, peuvent télécharger gratuitement la visite podcastée ou consultable à partir d'un téléphone mobile, réalisée à l'aide d'explications des artistes eux-mêmes ou de commentaires des habitants des quartiers ayant participé à leur création. A moins qu'ils ne préfèrent tout bonnement flâner le nez en l'air en suivant l'itinéraire version Google Map.

À l'origine, le Mural Arts Program (MAP) faisait partie d'une initiative lancée en 1984 par le maire de l'époque, Wilson Goode, pour combattre les graffitis qui envahissaient les murs de la ville. Il s'agissait d'impliquer de jeunes délinquants pour nettoyer ou recouvrir les tags, tout en essayant de recréer le tissu social, particulièrement mis à mal dans les quartiers noirs, abandonnés à leur sort et bien souvent théâtre de violentes émeutes.

Pour cela, une artiste fut appelée à la rescousse : Jane Golden, alors fraîchement diplômée de Stanford, elle-même fille d'artistes nourrie aux murales de Diego Rivera. Et si le programme a si bien réussi au point de devenir aujourd'hui un élément incontournable de la politique socio-culturelle de la ville, c'est essentiellement grâce à la vision éclairée, au dynamisme et à l'engagement indéfectible, malgré une maladie chronique débilitante, de cette femme à la fois frêle et débordante d'énergie.

La directrice exécutive du MAP est incontestablement l'âme et le moteur de cette organisation, dont le statut est un savant mélange entre l'association à but non lucratif et l'organisme public, financée à 40% par la municipalité. " Art saves life "(l'art sauve la vie) se plaît à répéter Jane Golden, qui voit dans la peinture murale "une fabuleuse opportunité de ramener de la beauté et du respect au sein d'une communauté ". " Dans les quartiers défavorisés, les gens perçoivent les graffitis comme un symbole d'impuissance. Le fait que chaque surface extérieure soit recouverte de graffitis leur rappelle que leur quartier échappe à tout contrôle. Une fresque représentant un magnifique paysage est le signe que les gens se sentent concernés et que les choses peuvent changer. Une cascade peinte sur trois étages peut donc redonner confiance aux gens. C'est une déclaration politique ", explique cette activiste convaincue dans Philadelphia Murals and the Stories TheyTell, un très beau livre qui retrace l'histoire des fresques de la ville, qu'elle a co-écrit avec Robin Rice et Monica Yant Kinney.

Grâce au MAP, ce sont entre 100 et 150 peintures murales qui sont ainsi réalisées chaque année. L'organisme coordonne les demandes soumises par les associations de quartier, les écoles, les services publics, voire des entreprises ou des commerçants désireux d'embellir et dynamiser leur environnement. Le projet est alors confié à un artiste qui intervient main dans la main avec la population locale pour exécuter la fresque. Car si la qualité de l'œuvre est certes importante, le but est avant tout d'impliquer les habitants, notamment les jeunes, dans un travail d'équipe destiné à revaloriser leur quartier. Une forme de thérapie sociale, en quelque sorte.

Et ça marche ! En 25 ans d'existence, pas une seule des fresques réalisées par le MAP n'a été vandalisée. Quant aux tags, à défaut de disparaître complètement, ils ont nettement reculé. Quelque 3000 jeunes, issus de milieux dits " à risque " sont inscrits au MAP pour suivre des cours de dessin après l'école et participer à la réalisation des peintures murales.

Le succès du MAP est tel que Philadelphie exporte désormais son modèle dans d'autres villes du monde, en Irlande, en Indonésie et surtout dans les banlieues françaises, à Bagnolet, Bondy et Villiers-le-Bel. L'été dernier, trois artistes américains, David McShane, Paul Santoleri et Emilie Ledieu, ont ainsi passé plusieurs semaines à la périphérie de Paris pour aider les jeunes artistes français, aidés par les municipalités, à s'emparer de l'expérience philadelphienne et l'adapter à leur réalité. Pari réussi puisque Bagnolet inaugurait en juillet 2009 une fresque réalisée sous la houlette de l'artiste local Psychoze en hommage aux frères Guénot, les deux médaillés de lutte gréco-romaine aux JO de Pékin, sur le mur de leur immeuble ; suivi par le collège Martin Luther King de Villiers-le-Bel et sa peinture murale à la gloire du pasteur noir et leader du Mouvement pour les droits civiques ; puis par l'école maternelle Terre-Saint-Blaise de Bondy.

Mais la vocation artistique de Philadelphie ne s'arrête pas là. La ville compte encore bien des lieux d'exception pour les amateurs d'art. Il y a bien sûr le Philadelphia Museum of Art, avec son imposante collection d'art des XIXe et XXe siècles (Manet, Monet, Pissarro, Renoir, Degas, Delacroix, Cézanne,Van Gogh, Picasso… ils sont tous là), sans oublier la plus importante collection d'œuvres deMarcel Duchamp au monde.

Sa façade de style Greek Revival et son escalier monumental rappelleront sans doute quelque chose aux fans de Rocky : c'est sur ses marches, en effet, queSylvester Stallone vient s'entraîner inlassablement. Non loin de là se tient le Rodin Museum, qui abrite la plus grande collection de sculptures, de dessins et d'aquarelles du maître hors de France. Toujours sur Benjamin Franklin Parkway, une large avenue reliant Fairmont Park au City Hall et où se concentrent les plus importants musées de la ville, la Fondation Barnes devrait emménager son précieux trésor dans un nouvel édifice en 2012, plus central et surtout plus accessible que son siège actuel à Merion dans une banlieue résidentielle de Philadelphie. Ah, la Fondation Barnes ! 181 Renoir, 69 Cézanne, 59 Matisse, 4 Manet, 4 Monet, 6 Seurat, 11 Degas, 7 Van Gogh, 16 Modigliani, 18 Douanier Rousseau ou encore 46 Picasso et 21 Soutine, parmi tant d'autres… Jamais une telle concentration de chefs-d'œuvre réunie en un seul lieu n'a été aussi fascinante. Une vraie caverne d'Ali Baba ! Le bon Docteur Barnes a fait fortune en mettant au point et en commercialisant un antiseptique, l'Argyrol, qui lui permit ensuite de se consacrer à sa passion pour l'art, et notamment la peinture française.

Enfin, la ville s'apprête à créer l'événement en lançant le Festival International desArts de Philadelphie (PIFA), du 7 avril au 1er Mai 2011, un rendez-vous qui devrait devenir annuel. Doté d'un budget de 10 millions de dollars, ce festival entend célébrer la créativité, l'innovation et le mélange des genres : musique (hip-hop, classique, opéra, jazz, pop, monde), danse, arts visuels, théâtre, mode, arts du cirque, arts culinaires, cinéma, architecture, art de la marionnette…il y en a pour tous les goûts.

Cette première édition fera la part belle à la French Touch puisqu'elle aura pour thème le " Paris des Années 1910-1920 ", époque d'une grande effervescence artistique qui insuffla un vent de renouveau à toutes les formes d'art. L'un des temps forts du festival aura lieu au Kimmel Center qui, du reste, abritera bon nombre des manifestations prévues : c'est sur sa façade que sera projetée numériquement, en avant-première, la fresque intitulée How Philly Moves.

Réalisée avec le MAP, cette vaste peinture murale, composée à partir de milliers de photos de danseurs prises par l'artiste d'origine française JJ Tiziou, ornera ensuite une surface de 4 500 mètres carrés face à l'aéroport de Philadelphie. La " cité de l'amour fraternel " ne pouvait pas rêver d'un meilleur accueil, placé sous le signe de son dynamisme artistique, pour souhaiter la bienvenue à ses visiteurs."

Régine Cavallaro
SOURCE: http://www.lemonde.fr/voyage/article/2010/10/13/philadelphie-la-cite-qui-aime-les-arts_1423520_3546.html

23.3.11

Notes

Cher internaute,

L'inspiration revient, et avec elle l'envie de créer. Un cher ami soutenait recement que l'envie était prélude à l'inspiration. Son analyse était schématique et droite, et la réponse si bien définie....Oh oui, mon sage esprit de contradiction aime ce genre de situation, voulant défier les lois souhaitant ardemment que l'imaginaire luxuriant devienne cette exception confirmant la règle, on peut alors tout retourner, changer, inverser l'univers entier...Et dites moi, de la poule ou de l'oeuf qui est le premier? Et si l'inspiration et l'envie s'engendraient l'une l'autre, commençant par l'une ou par l'autre selon le contexte? :D

Je m'arrêterais là, mon esprit de contradiction étant à cours d'argument..


La créativité rend à l'existence sa pleinitude : quelle misère de vouloir vivre si ce n'est pas pleinement, ne se satisfaisant jamais des pauvres miettes que l'on s'autorise à gouter. Je suis là à vous écrire, et à penser, dans une certaine tranquillité intérieure. Car l'agitation entraîne tumultes de mots, qui s'entrechoquent et se brisent, se contredisent, s'avortent, s'annulent et se vengent du peu d'attention de celui qui les prononce, pressé, happé par l'attrait du monde extérieur... Et ces mots jaillissent et meurent aussitôt, prématurément, sans laisser de trace, sans marquer les mémoires et les coeurs de leur sceau sacré.. On trouve rarement le sacré dans ces phrases jetées à terre et les mots désincarnés de leur sens et de leur complexité..non?

Nous vivons notre vie, nous avons nos références, nos évènements clefs... Il y aura tant de destins que l'on aura juste frôlé et tant d'autres croisés qui se seront évanouis presque aussitôt..Il y a le respect des choix d'autrui, du libre arbitre: l'exercice du lâcher prise..
Il y a le ressenti, et la façon dont on le dévoile. L'autre n'a pas accès au premier, et ne jure que par le second. Trouver le juste milieu nécessaire à toute forme de communication humaine, en soi et envers les autres, peut-être ect-ce ce long chemin sans fin, que l'on nomme maturité..

Je crois que nous sommes fait d'une multitude de couleurs, qui doivent pouvoir se mouvoir dans le temps sans se ternir. Des couleurs qui doivent pouvoir exister par elles-mêmes et qui n'ont rien à prouver. C'est un peu comme cela que je définirai le sentiment d'exister, cette chance, ce don, ce cadeau que l'on partage avec légèreté à travers les sourires échangés..car qui sait ce dont demain sera fait?


Alors pour finir, je remercierais cet ami pour les lettres échangées, les sourires aussi, L'aujourd'hui de moi à lui me semblant lointain, comme ces chemins à peine frôlés dont on respecte la distance, religieusement.. Il y a quand même un lieu que j'aurai souhaité lui montrer, si un jour l'envie lui prend et que le temps ne lui manque pas.. alors, il sait où me trouver..



Comment flotter en voiture sur un tsunami?



Combien de temps avant que l'eau ne s'infiltre dans la voiture?

Y survit-on?







12.1.11

News, tutoriaux et projets

Salut les zamis :) J'espère que vous avez passé de bonnes fêtes de fin d'année, pas trop défoncé le foie gras et surveillé votre ligne!

Après ma participation au graphisme et voix off sur le film 'le fils du père Noël' (le site du réalisateur ici) dont le film est toujours en compétition sur le site du festival Nikon (c'est ici), j'enchaine sur un projet d'édition, une histoire que je suis entrain de finir d'écrire, ainsi que les illustrations qui lui donneront corps. Ce projet est un exellent prétexte pour apprendre à maitriser Indesign (le logiciel de mise en page de la suite Adobe), de façon autodidacte. Personnellement, j'ai du mal à apprendre les logiciel avec un livre comme support de formation, je préfère de loin les tutoriaux vidéo :)

Deux sites super où je laisse souvent trainer mes yeux et mes tites zoreilles en matière d'apprentissage sont TUTO.COM et WISIBILITY. Vous y trouverez plein de tutos gratuits sur n'importe quel logiciel dédié à la création, et aussi des formation complètes payantes.

-Pour tuto.com: j'ai galéré a ouvrir les video avec le lecteur qui va avec, je recommande de lire les vidéo avec le classic VLC PLAYER qui marche niquel.
-Concernant wisibility, rien à dire je recommande ce site si vous souhaitez acheter des tutos de formation complète, il est très agréable et clair à manier, de plus les admins sont super sympas, pascients et réactifs et vous aident si vous avez des problèmes par rapport au fonctionnement du site.. Agréable surprise aussi quand à l'interface de sommaire du tuto téléchargé, vraiment parfait pour l'apprentissage!
(Spéciale dédicace à Bertrand de wisi---merci :)

trucs astucieux: Si comme moi vous êtes sur mac et avez eu un problème pour déziper le fichier, et que vous avez le message d'erreur: "Impossible de désarchiver "blablabla" dans "Bureau"(Erreur 1 - Opération non permise.)" je vous conseille The Unarchiver.app (gratuit), relancez le dézippage, et cochez "continuer"et "appliquer à tous" si l'action s'interrompt en vous disant que le fichier est corrompu :) Ca a marché niquel pour moi :)


Pour les amoureux de toshop, il y a le super video blog de Bert Moroy, PIXEL PERFECT, qui est en américain :) Vive eux!

Du 27 au 30 janvier, je vais au festival de BD d'Angoubiatch!!!! Le festoch, rencontrer les éditeurs, les auteurs, les gens, voir l'actualité du monde de la BD et surtout......revoir des bons potes de ma promo :) youpalou!

Soirée LIGHT PAINTING aussi de prévu cette semaine avec un pote, c'est notre première fois, on va se faire l'alphabet je sens que ça va le faire, bientôt les photos!

Et comme toujours, je suis ouverte aux rencontres et collaborations artistiques! vous avez mon mail ! Le seul mot d'ordre: Bonne humeur et ouverture d'esprit :)



2.1.11

Bonne année avec notre nouveau film!




Ce mois de Décembre fut très productif, avec le réalisateur, Benjamin Assouline nous avons mis en commun nos talents pour vous offrir en ces fêtes de fin d'année, l'histoire d'un Héros : le fils du Père Noel !

Le film fait 2minutes20 version sans générique sur le site du Festival Nikon (le concours qui est à l'origine de sa création avec pour thême: "je suis un héro") et 3minutes15 en version longue, ci-dessous! Pour ma part, j'ai fait la voix off ainsi que les illustrations, l'affiche et la jaquette pour le dvd :)

Je vous souhaite d'apprécier le film,
ainsi qu'une année deux-mille-onze pleine de magie.
Eona








23.10.10

Vernissage du livre documentaire sur Bondy (13 oct)

Qu’est ce que l’âme d’une ville, si ce n’est qu’une quantité incoyable d’histoires se superposant et s’imbriquant les unes aux autres? Dans ce livre l’auteur dresse un portrait de la ville à travers une vingtaine de personnages significatifs, habitants de Bondy. Et c’est parmis eux que se trouve Salif Diarra, président du collectif d’artistes BULLE D'OX, Kiros pour les intimes! Illustré par de superbes photographies riches en émotion, voila un livre qui, on l’espère, vous touchera autant qu’il nous a touché.


Nous étions 7 bulledoxiens à être présents à l'évènement, petite photo de groupe malheureusement pas au complet (et oui yen à qui sont arrivés à la fin car un prof de la fac leur à tenu la jambe de peur quelle ne tombe). Et Dim's, qu'est-ce que t'as foutu? on voit que ta main là! XD


Le mot de la fin? MiUm! les petits fours et la mousse au chocolat..


13.9.10

Philadelphie et les USA me manquent..

Philly c'est le surnom que les habitants de Philadelphie
donnent à leur ville, je trouve ça vraiment minion!

9.9.10

Séance de dédicasse

Quand? le 16 Octobre 2010
Où? A la librairie "La fée des livres"
3 place Nicole Neuburger
93140 Bondy
Tel: 01 48 49 44 62



3.9.10

Article dans le Parisien

Comme vous le savez, le livre "Les Contes Pédagogiques" aux Editions Fabert que j'ai illustré est maintenant en librairie! J'étais à Philadelphie quand l'article est paru! Un grand merci à Yann de me l'avoir envoyé par mail!



Retranscription de l'article:


Connaissez-vous l’histoire du monstre Multiplicator ? Celle de la petite Marie qui avait avalé le dictionnaire de sa grand-mère ?EtMonsieur Géo qui remet à l’endroit la planète qui avait perdu la tête ? Ces « Contes pédagogiques », sortis hier dans toutes les librairies, sont nés de l’imagination de deux instituteurs de l’école primaire Pauline- Kergomard à Sarcelles. Jean-Yvon Lafinestre et Yann Couëdel, deux compères enseignants en poste dans la ville depuis vingt-quatre ans pour l’un et dix ans pour l’autre, viennent d’en réunir dix dans un manuel. Un ouvrage joliment illustré en noir et blanc par la dessinatrice Sophie Frachet, destiné à leurs collègues, mais aussi aux parents d’élèves à partir du CE 2, désireux d’accompagner leurs enfants dans leur progression scolaire. Le principe est simple. On lit à l’enfant une de ces histoires pleines d’humour, écrites autour de l’univers du rêve, dumystérieux. S’il est à l’aise, il peut aussi les découvrir seul. Chaque conte est accompagné d’une fiche pédagogique pour faire des exercices en solo, avec papa ou maman, ou même en classe. « Nous les avons testés avec nos élèves depuis plusieurs années, raconte Jean-Yvon Lafinestre. C’est un moyen que nous avons trouvé pour aborder de manière ludique les notions fondamentales du programme scolaire. La lecture, l’expression orale, la compréhension du vocabulaire, les maths, l’histoiregéographie, l’art... » « Nous en avons même inventé avec des élèves, se souvient Yann Couëdel. Certains sont même devenus des pièces de théâtre ou des comédies musicales, comme le Pays des phrases inachevées que j’ai monté avec mes élèves !» Pour ce duo d’instits, c’est le deuxième coup demaître. En 2008, leur désopilant mais très utile « Guide de l’enseignant », entièrement illustré par Cabu, avait fait sensation dans le monde de l’Education nationale. Ce manuel pratique à l’usage de leurs collègues débutants ou en détresse, très vite épuisé, avait fait le tour de l’Hexagone. Transmettre et partager, mais toujours avec le sourire, c’est décidément le credo de Yann et Jean- Yvon. BÉNÉDICTE AGOUDETSÉ « Les Contes pédagogiques"Quand le merveilleux devient éducatif », de Jean-Yvon Lafinestre et Yann Couëdel. Editions Fabert. Disponible au rayon sciences humaines ou éducation des librairies.


Prix : 10 €. A découvrir sur : http://www.les-contespedagogiques.blogspot.com/.


THE PHILADELPHIA'S WALL!

We were 5 Bulle d'Ox association 's members (an artistic association) who went to Philadelphia (16-30 august 2010). We were invited by the United States Ambassy in France, and participate to the french-american of urban mural painting exchange. 2 awesome weeks to descover the city, speak english and help the MAP's artists. And now, let's talk about this project!


This is the drawing of the east keasinston's Mural when it will be finish!
If you'll go in Philly one day, take the subway until the YORK DAUPHIN'S station,
and you will see it! Voici le dessin du Mural d'East Keasinston quand il sera fini!
Si vous allez à Philadelphie un jour, prenez le métro jusqu'à la station York-Dauphin,
et vous le verrez!

As you can see, it's a big wall, taller than our lastest wall we made in Bondy with the Mural Art Program! We worked with Paul Santoleri (american artist), Psykoze (famous graffiti's french artist), Emile Ledieu (mosaic artist, franco-américaine) and everyone who wanted to participate. Comme vous pouvez le constater, il s'agit d'un grand mur, bien plus imposant que le dernier que nous avions fait à Bondy avec le MAP. Nous travaillions avec Paul Santoleri (artiste américain), Psykoze (artiste français reconnu pour ses graffittis), Emilie Ledieu (artiste mosaiste, franco-américaine) et chaque personne voulant participer.


On the right side, we had to climb on the scaffolding to paint, and sometime by the roof.
It was really hight and, at first i had try to pass my vertigo! Sur le côté droit, nous devions monter sur l'échafaudage pour peindre, et parfois même sur le toit! Le mur était vraiment haut, et j'ai d'abord dû essayer de vaincre mon vertige!
On the left side, the wall was just unaccessible, because of the lot of cars and metal scraps!
So the artists had to use a lift!Sur le côté gauche, le mur était juste inaccessible à cause des nombreux véhicules et déchets métalliques! Les artistes ont donc dû utiliser un lift!
Here is the Angel's motif designed by Agnès B. wicth we made in mosaic to be put on an other face of the building.Ici, il s'agit du motif d'ange designé par Agnès B. que nous avons fait en mosaique pour le placer sur une autre face du bâtiment.


And this is a part of our mosaic work with the mirror.
Et voici une partie de notre travail de mosaique en miroir.

There are some travels we can't forget, and this one is like this.
Il y a de ces voyage qu'on n'oublie pas, et celui-ci en fait parti.


TO SEE MORE ABOUT OUR TRIP IT'S HERE:
POUR EN VOIR PLUS A PROPOS DE NOTRE VOYAGE, C'EST ICI:

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